Je me souviens d'un mec.
Marrant, pas de son nom. Ah si, ça me revient : Antoine.
je l'ai connu pendant un stage. beau. Beau. beau.
Si beau que je n'osais pas m'approcher...
Et vers la fin du stage, je me suis lancée. Je ne risquais pas d'avoir l'air con puisque je ne revenais plus.
On a fait une petite fête de fin de mon stage, tout ça tout ça, et quand je pars avec une copine il nous accompagne. Tiens, et si on bouffait au restau du coin? Allez, une salade fissa. Puis ma copine dégage et le mec me demande si je veux bien marcher. Un peu, que je veux. On marche. on se rapproche. On remarche. On parle. On parle durant des heures. C'est super. Je m'éclate. Puis on va chez lui. C'est super. Je pars le matin, et je dois revenir le soir.
Le soir, je reviens, mais il n'ouvre pas. J'ai la conviction qu'il est là, mais il n'ouvre pas. Je reviens, je mets des mots, tous les jours pendant dix jours.
Rien.
je suis triste, je me sens blessée.
Du coup je aprs chez une copine une semaine en vacances.
Et là, je rencontre un mec avec qui je suis restée cinq ans, mais c'est une autre histoire.
De « pinchina » à Pinchinat
Il y a 15 heures